Et aussi

En compagnie de Tahar Ben Jelloun

Dans le cadre du 15e Printemps des Poètes

Lundi 11 mars 2013
Petit théâtre - Salle Jean Bouise


Les dates réserver

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mars 2013
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17
Billetterie

Les tarifs

  • 25 € plein tarif
  • 20 € retraités, groupes à partir de 8 personnes (aux mêmes spectacles et aux mêmes dates)
  • 14 € demandeurs d’emploi, détenteurs de la carte mobilité inclusion, accompagnateur PSH, personnes non imposables
  • 12 € moins de 30 ans, étudiants
  • 12 € professionnels de la culture
  • 8 € élèves des écoles de théâtre partenaires
  • 7 € bénéficiaires de minima sociaux (CMU, RSA, AAH)
  • 7 € le samedi soir pour les étudiants de moins de 30 ans

Détail des tarifs

À propos

Lundi 11 mars 2013, à 20h00
Tahar Ben Jelloun lit des extraits de son recueil « Que la blessure se ferme ».
Clément Carabédian et Maxime Mansion, comédiens de la troupe du TNP liront un choix de poèmes de l’auteur.

« Le silence de l’Aimée
Est un meurtre tranquille
Il blesse sans tuer
Il inquiète et fait monter la fièvre
C’est un mur froid qui avance
Broie ce qu’il rencontre
Le tout sans faire de bruit »
Tahar Ben Jelloun

Entrée libre sur réservation : 04 78 03 30 00 / billetterie@tnp-villeurbanne.com

Biographie

Tahar Ben Jelloun est né à Fès en 1944. Il a étudié et enseigné la philosophie au Maroc avant d’arriver en France en 1971 pour faire une thèse en psychiatrie sociale. Ses premiers écrits sont des poèmes publiés dans la revue Souffles, en 1968, puis réunis sous le titre Hommes sous linceul de silence, 1970. Ce sont les Éditions François Maspero qui publieront son deuxième recueil Cicatrices du soleil en 1972, suivi du Discours du chameau, 1974, puis de Les Amandiers sont morts de leurs blessures, 1976. Il est auteur d’une vingtaine de romans dont La Nuit sacrée, Prix Concourt 1987, Cette Aveuglante Absence de lumière, 2001 (International IMPAC Dublin Literary award), Partir, 2006 (Prix Ulysse), Sur ma mère, 2008, Au pays, 2009, Le Bonheur conjugal, 2012. Il publie les récits Jean Genet, menteur sublime, 2010, Par le feu, 2011 et une pièce de théâtre Beckett et Genet, un thé à Tanger, 2010. Son recueil de poésie Que la blessure se ferme est paru en 2012. Son essai pédagogique Le Racisme expliqué à ma fille, 1998, a été traduit en trente langues et est enseigné dans les écoles de plusieurs pays. Il a reçu en 2006 le Prix international de poésie de la ville de Trieste. Comme son ami, le poète palestinien Mahmoud Darwich, Tahar Ben Jelloun dit  qu’il « continue à apprendre la marche difficile sur le long chemin du poème (qu’il n’a) pas encore écrit ».

Téléchargements

Le tract (pdf /246ko)

Le programme (pdf / 178 ko)

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